Un an depuis le passage du grand leader des comptables roumains, prof. univ. dr. Marin Toma

“Dans la vie, si on travaille, on connait; 
si on connait et a de la foi (en Dieu) il faut qu’on veule
et si on veut il faut qu’on puisse”

Ce qui nous paraissait incroyable il y a un an, le 27 mai 2012 reste toujours difficile à comprendre pour tous ceux qui ont connu, apprécié et estimé, au plus haut niveau, le président Marin Toma, le départ du menteur de tous les professionnel comptables de notre pays étant ressenti continuellement avec du douleur et impossible consolation, comme est le cas avec toutes les personnalités authentiques, ceux qui ont laissé leur trace profonde, indéniable sur les destins de leurs contemporains et de ceux qui vont les suivre. Lorsque le temps passe, sa mémoire est vivante et son œuvre est tellement riche de tous les points de vue – professionnel, civile, éthique – s’affirme comme valeur pérenne, nationale et universelle.

Le VISIONNAIRE. A l’aube du rétablissement de la liberté de la nation roumaine, début des années 90, quand les forts débats concernant le futur de la Roumanie, surtout en ce qui concerne l’économie du pays, était devenues très acutes, lorsque la société entière était dominée par les préoccupations quotidiennes, dirigées vers la fourniture des moyens minimums d’existence, celui qui était devenu le directeur général du Contrôle Financier de l’Etat dans le Ministère des Finances, l’exceptionnel professionnel qui était Marin Toma, a étonné ses collègues avec l’audace de sa vision innovatrice. De retour de Madrid, où il avait représenté la Roumanie au premier Congrès de la Cour des Comptes Européenne, il a éprouvé son caractère d’avant-garde en exprimant deux propositions qui avaient le but de donner plus de substance au processus de transition vers une économie de marché fonctionnelle: la création de la Cour des Comptes pour le secteur publique et du Corps des Experts Comptables et Comptables Agréés pour le secteur privé. Le but central était d’éliminer les phénomènes nocifs qui présentaient le grand risque de la dissolution de l’autorité de l’état, surtout par de graves dérapages en matière de gestion de l’argent publique aussi que de mettre en place les prémisses de l’expansion et de la consolidation du secteur privé de l’économie. A l’époque, ces idées-là étaient choquantes, mais comme tout créateur d’avant-garde, le temps a confirmé ses propositions. A l’esprit de sa vision, Marin Toma a contribué de manière décisive au développement des projets législatifs sur le contrôle financier de l’état et à la constitution de la Garde Financière.

Le deuxième grand provoqué par Marin Toma a été sa démission de sa haute fonction du Ministère des Finances afin de se dédier uniquement et indéfiniment à sa profession de base. Il a établi la première firme de comptabilité post-décembriste „Romcontrol DC SA”, marquant l’apparition, dans le secteur privé roumain, d’une entité conçue afin de promouvoir un autre type d’exercice de la profession comptable dans le nouveau contexte économique et social. Ainsi, il a exprimé l’importance qu’il a attachée, sans cesse et sans compromis, au pouvoir de l’exemple personnel.

En parallèle avec l’activité déroulée dans son cabinet, il s’est engagé avec une énergie et une détermination extraordinaire à la restauration du CECCAR, une institution créée en 1921, par le professeur Grigore Trancu-Iaşi qui avait été supprimée par le régime totalitaire en 1951. Voici comme l’HISTOIRE a été marquée pour la 1ère fois en 30 ans, et pour la 2ème fois après encore 40 ans par des actes fondamentaux de l’évolution de la profession comptable. En dépit des difficultés de l’époque, cette profession n’a jamais cessé de s’affirmer en tant que pilier essentiel de la vie économique et sociale du pays. La renaissance du CECCAR, grâce aux démarches vitales de celui qu’on évoque aujourd’hui, a représenté et représente la plus chère preuve de l’importance de la VISION de ce professionnel accompli, qui a été en même temps en vrai promoteur de la solidarité avec toute la communauté où il a vécu. Sans Marin Toma, le Corps des Experts Comptables et Comptables Agréés de Roumanie n’aurait pas été et ne serait pas ce qu’il est devenu par la mise en œuvre de sa vision d’ampleur historique, touchant surtout la sphère de la profession qu’il a servie comme personne. Il cultivait le respect vers soi-même comme condition obligatoire afin d’être respecté sans la société roumaine et d’ailleurs.

L’INGENIEUR. Celui qui suit la voie parcourue par le CECCAR pendant l’époque post-décembriste aura l’occasion de voir une illustration de l’esprit constructif, de la vocation d’apporter sans cesse de la valeur ajoutée à une profession, à une activité dont l’utilité économique et sociale est incontestable.

Lorsqu’il s’est engagé avec toutes ses forces, à l’accomplissement du grand projet qui est le CECCAR, Marin Toma a actionné de manière opportune et le fondement de la nouvelle organisation a été mise en place par l’élaboration de trois documents essentiels : le projet législatif sur l’expertise comptable et la reconstitution du Corps, le Règlement d’Organisation et fonctionnement du CECCAR et le Code de conduite étique et professionnelle des experts comptables et comptables agréés. Il n’a pas été facile de finaliser tous ces démarches législatives puisque la résistance à l’innovation, aux changements s’est manifestée de nouveau avec de la force à l’époque. Seulement en 1994, on a adopté l’Ordonnance no. 65 sur l’organisation de l’activité de l’expertise comptable et sur l’organisation et le fonctionnement du CECCAR.

Sans repos, Marin Toma et l’équipe qu’il avait réussi à former ont passé à la constitution des filiales départementales du CECCAR ; de nouveau ils ont rencontré et dépassé de nombreuses difficultés, qui étaient aussi des défis de mentalité. Le plus grand défi a été de convaincre ses collègues que leur avenir dépendait de manière décisive de la consolidation du secteur privé de l’économie. Muni de persévérance et méticulosité, on a bâti l’édifice du CECCAR, petit à petit. Le 1ère Conférence Nationale (novembre 1994) a démontré l’efficacité des efforts mis en œuvre par Marin Toma et l’a élu en tant que président du Corps, dans la compagnie des vice-présidents Mihai Ristea, Călin Oprea, Mircea Cristea, Mircea Boulescu et Nicolae Feleagă. Il savait comment transformer l’énergie émotionnelle dans des leviers de la raison, comment motiver ses collaborateurs, les collègues de la profession en promouvant les valeurs authentiques attachées à la profession comptable mais aussi  à la nation entière. Il ne voulait pas épater, ni impressionner, mais toutes ses actions généraient, d’une manière naturelle, de l’admiration, beaucoup d’intérêt et cela le faisait se situer au-dessus des difficultés quotidiennes, des défis d’une transition qui paraissait être infinie.

Son œuvre constructive est continue par l’établissement des relations de plus en plus fortes avec les structures du milieu d’affaires, mais aussi avec les nouvelles institutions de l’état autorisées à coordonner le processus de privatisation à échelle nationale. Dans ce contexte, un processus naturel, organique, de grande importance, s’est déroulé : la reconnaissance du CECCAR en tant que représentant légitime des professionnels comptables de notre pays. Une attestation de jure et de facto qui a placé le président parmi les personnalités publiques influentes, ayant une grande autorité scientifique, professionnelle et humaine, dont l’opinion a été prise en considération de plus en plus et avec une consistance croissante.

La certification interne a représenté le support stable pour obtenir la certification externe. Dans un monde où les processus de l’intégration et, plus généralement, ceux de la globalisation, avançaient rapidement, conduisant à des changements de substance et de la profession comptable, il était de plus en plus évident qu’on avait besoin d’innovation, de réels renversements de la perception au niveau international sur les comptables roumains. Le professeur Toma a initié, depuis 1995, des négociations qui ont été finalisées avec succès en vue de l’établissement des accords avec des organisations similaires d’autres pays. Les premiers accords ont été ceux avec la Hongrie, le Pologne, l’Italie, la France, la Grande Bretagne et la Hollande. De nouveau, la vision d’ingénieur du professeur Marin Toma s’est éprouvée vraiment inspirée. Ces accords ont représenté le départ pour d’importants documents ultérieurs : la déposition de la candidature pour le statut de membre de la Fédération Européenne des Experts Comptables (FEE) et de la Fédération Internationales des Comptables (IFAC).

Suite à la visite du directeur général de l’IFAC, John Gruner, de 1995, CECCAR a été reçu en 1996 en tant que membre de la plus large et la plus représentative organisation internationale des comptables.

L’application d’adhésion à la FEE a représenté une première puisque jusqu’à ce moment-là la Fédération n’avait reçu que d’organisations des pays membres de l’Union Européenne. Mais, après la visite en Roumanie d’une délégation de la FEE, on a ouvert la voie du CECCAR vers cette Fédération premièrement en tant que membre correspondant et puis en tant que membre à part entière. Ainsi, on peut affirmer sans doute que les démarches du président Toma on a marqué la première participation roumaine effective, appréciée de manière unanime dans une structure représentative européenne.

On a ainsi « façonné » (pour utiliser toujours un terme spécifique du domaine des constructions) notre maison, celle des comptables roumains, une maison qui – proprement-dit et au figuré – a continué à se moderniser, à prendre des dimensions quantitatives et qualitatives qui lui ont attaché l’attribut de la plus grande organisation du sud-est de l’Europe. Il n’aimait pas les enjeux insignifiants, au contraire, il poussait toujours à s’établir des objectifs ambitieux qui justifiaient des mesures audacieuses, cependant ayant un fondement réaliste. Il était doué du talent d’apprécier justement les gens – un élément indispensable dans l’exercice de sa fonction de menteur, de dirigeant. Il a été, comme toute personnalité authentique, l’objet des controverses, il n’a pas été aimé par les fonctionnaires, par ceux qu’il nommés « figés dans le projet », mais le dialogue qu’il a promu en permanence a contrecarré les mauvaises intentions, les conspirations, les envies et les autres insuffisances de ceux qui n’ont pas su s’adapter aux exigences morales que le président Toma a respecté sans conditionnement.

Le GESTIONNAIRE. Pendant deux décades, le président Marin Toma a travaillé comme tel est le cas pour les professionnels authentiques, à la consolidation du CECCAR à tout niveau, surtout en ce qui concerne l’accomplissement du rôle essentiel qu’il a eu et qu’il a dans la promotion et la défense de la profession comptable dans le pays et à l’étranger. Naturellement, il est impossible de faire un résumé de l’activité du président Toma qui a été dirigée vers l’expansion et l’approfondissement du rôle du CECCAR en tant qu’exposant de la profession comptable, dans le contexte où la Roumanie a rencontré de grands défis, qu’elle a dépassés avec beaucoup de sacrifices des citoyens, celles-ci étant des étapes décisives du processus de transition vers une économie de marché fonctionnelle ; cette réalité a été certifiée par l’obtention du statut de pays membre de l’Union Européenne – le 1er janvier 2007.

Petit à petit, le président Toma a conduit le processus d’amélioration de l’infrastructure professionnelle par le développement des normes et par la révision de celles existantes. On doit noter en premier temps les normes de communication pour les petites et moyennes entreprises, les normes de présentation des travaux faits pour les PME, ont eu un grand impact sur toute la communauté comptable de Roumanie. En même temps, la création des structures nécessaires à la formation continue, le développement du Code déontologique initié par le CECCAR (un document qui a généré le plus grand et le plus ample intérêt dans tous les pays de l’Europe Centrale et de l’Est), l’avant-garde dans le soutien de l’audit externe pour les services rendus par les experts comptables, l’intérêt permanent pour l’assurance des conditions moderne de travail pour les structures territoriales, l’initiation des relations de coopération avec les Chambres de Commerce et de l’Industrie, avec les organismes patronales, avec d’autres entités du milieu d’affaires, la suppression des difficultés de nature législative et institutionnelle dans les rapports avec institutions de l’administration publique – ceux-ci représentent uniquement une partie de la contribution du président Marin Toma pour l’assurance d’une gestion performant au niveau de tout le Corps des Experts Comptables et Comptables Agréés de Roumanie.

Un aspect très important a été et l’est toujours la création de l’équipe exécutive du CECCAR, dirigée par la directrice générale, ec. Daniela Vulcan, une équipe qui a été soutenue par le président Toma avec préoccupation et la chaleur qui avait été présente dans tous ces projets qui concernaient l’encouragement de jeunes générations et la promotion des valeurs réelles. Il n’a omis aucun détail qui aurait pu aider à exploiter les initiatives individuelles, aussi que le respect pour les méritants. Et cela, dans le contexte de la diversité d’activités du CECCAR déroulées dans le secteur conceptuel, stratégique et exécutif, en offrant, grâce à sa compétence personnelle de plus haut niveau et grâce à la plus grande responsabilité, un vrai modèle de gestionnaire pour notre époque.

Le PROFESSEUR. Le président Marin Toma a valorisé ses aptitudes d’enseignant le plus complètement possible. Il s’est toujours préoccupé de la formation professionnelle et étique des collaborateurs immédiats, des collègues de la direction du CECCAR au niveau national et départemental ; il a déroulé une valeureuse activité didactique, en tant que professeur. Pour ses achèvements scientifiques, surtout pour la mise en place des valeurs, des principes et des règles de la profession comptables, il a reçu, en 1999, le titre de docteur en économie.

Son contact permanent avec le milieu académique et universitaire et sa participation directe à l’activité d’enseignement supérieur, ont représenté le fondement pour sa réception en 2005 de la qualité de professeur de la Cathèdre de Comptabilité, Audit et Gestion de l’Académie d’Etudes Economiques de Bucarest.

Pendant sa carrière universitaire, comme dans les autres secteurs de la profession comptable, le professeur Marin Toma a excellé par sa créativité et sa rigueur, tous les deux amplifiées  – comme nous l’avons déjà mentionné – par son approche personnelle, collégiale, aussi dans les rapports avec les jeunes aspirants aux plus haut niveaux de performance professionnelle. Il a eu ce qu’on appelle le « don didactique », l’ineffable capacité de transmettre non seulement ces connaissances mais aussi sa conduite qui apporte non seulement du prestige mais aussi de la confiance. Certes, la diversité de ses préoccupations didactiques est impressionnante, les cours qu’il a tenu dans le domaine de l’expertise comptable, de l’évaluation des entreprises, de la déontologie comptable, de l’audit financier le sont de même ; les moyens par lesquels il a transmis ses connaissances, le fait que celles-ci n’étaient pas vues en tant que simple exercice intellectuel mais en tant que lignes directrices dans la vie, dans le travail au service publique, a été remarquable ; il tenait au cœur ce concept qu’il suivait sans cesse dans ses actions.

Il faut noter que tous ses étudiants, comme les jeunes diplômes qu’il a formé pour la profession comptable ont vu dans le professeur Toma une personne qui a vraiment aimé sa « profession » à laquelle il s’est dédié. Il a milité, aussi en tant que professeur, pour l’ennoblissement de la profession comptable, non seulement par les plus récentes, les plus avancées acquisitions scientifiques, mais aussi par tout ce qui attache de la puissance et de la noblesse aux relations interhumaines, aux actes de conscience qui les définissent, en première et dernière instance.

L’HOMME. Lors de 90ème anniversaire du CECCAR, le monde des livres valeureux s’est enrichi avec un ouvrage inédit – du point de vue de son contenu et de sa forme – „Itinéraires dans la mémoire de la profession comptable” que l’auteur, prof. univ. dr. Marin Toma, a rédigée – de facto – sous la tension qui caractérise un testament professionnel de valeur extraordinaire. Parmi les pages de cet ouvrage, soit qu’on parle des pages au caractère de mémoire, soit qu’on parle des thèmes d’intérêt scientifique, soit qu’on traite des aspects pratiques, soit qu’on suit une approche tranchante face aux politiques publiques, il y a un tout qui rassemblé de manière harmonieuse une image qui caractérise avant tout l’HOMME qu’il l’a été.

Dans la préface signée par les membres du Bureau Permanent (prof. univ. dr. Mihai Ristea, prof. univ. dr. Vasile Răileanu, prof. univ. dr. Ioan Nistor, lector univ. dr. Ecaterina Necşulescu, lector univ. dr. Vasile Alin Monea et la directrice générale du CECCAR, ec. Daniela Vulcan) on relève, avec beaucoup de chaleur que L’homme TOMA MARIN s’est personnalisé en tant qu’esprit dynamique qui s’impose par la diversité de ses actions et par l’intelligence des solutions, qui ne laissent pas lieu d’appel, dans la plupart des cas. D’autre part, il peut être, en fonction des circonstances, soit sérieux, soit joyeux, préoccupé ou détaché, exigeant ou indulgent, transparent et fidèle. Il est comme un magicien qui n’est pas effrayé même par sa réflexion dans un miroir cassé. En tant que natif de l’Olténie, il cherche toujours le rire, l’optimisme et le vrai sens de la vie. Il vit comme il faut et créé beaucoup et bien. Il est ferme et droit comme un principe à la recherche de la perfection calme ; et il s’est imposé par sa claire vision et par son mécontentement, par la recherche et la découverte. On peut dire, sans exagérer, que le président a eu la foi de la mission assumée”.

Lors de toute sa carrière exceptionnelle, il ne laissait jamais s’entrevoir la lourdeur de sa propre responsabilité. Une responsabilité qui était immense. Il était toujours un pas avant avec ses idées, avec ses actions audacieuses, par l’acceptation des risques et il n’a jamais perdu le contact avec ceux qui l’ont suivi ; il marchait coude à coude avec eux, avec une modestie sans pareil. Il a récompensé la confiance avec de la confiance, la reconnaissance avec de la reconnaissance, la loyauté avec de la loyauté. Il n’a jamais accepté les hasards, ni dans l’exercice de la profession, ni dans la vie publique. Grâce à son énergie intellectuelle, il a fait que les capacités de ses collègues soient  mises en valeur, aux niveaux croissants, de sorte que chacun puisse servir, le meilleur possible, en tant que membre de la Cité, les objectifs communs. L’optimisme était son état naturel. Il appréciait le naturel et détestait le mimétisme, l’opportunisme, la fausse flatterie, tout ce qui était contrefait.

Au triste moment du passage du président Marin Toma, beaucoup de collaborateurs, de collègues, de spécialistes prestigieux de divers domaines d’activité, des dirigeants des organisations internationales et régionales, de hauts fonctionnaires roumains aussi que d’autres personnalités ont exprimé, avec sincérité, leur profond regret et leur appréciation pour le disparu. Tous ceux-là ont tracé la ligne de son profil humain. Lorsqu’on a évoqué la vie et le parcourt professionnel continu du professeur Marin Toma, on n’a rien oublié de ce qui puisse définir un individu, de ce qui l’a toujours caractérisé grâce à sa vision, son esprit créateur, son engagement envers les autres et sa passion pour les jeunes. Toutefois, il a été évident que les mots étaient insuffisants pour exprimer, de manière exhaustive, les sentiments avec lesquels il a été entouré et apporté d’hommage après son départ ; on parlait de celui qui a lié son nom et renom de résonnance nationale et internationale à ce qui a représenté sa foi dans la vie, plus précisément l’œuvre qui va durer indéfiniment et qui porte la marque du CECCAR – un institut professionnel dédié, sans réserves, à l’intérêt publique, à l’intérêt national.

Un an après son départ, le président Marin Toma continue à être une inspiration et il va l’être pour toujours pour les idées et les actions de ceux qui souhaite exprimer librement ses options professionnelles et civiques et se dédier au bien publique, comme celui qui nous a quitté, physiquement, le 27 mai 2012. L’héritage créatif et spirituel qu’il nous a laissé fait partie du trésor professionnel et moral des professionnels comptables, de tous les économistes roumains et de nos collègues de l’étranger. Il s’agit d’un héritage qui porte la marque d’une profession l’élite, de la conscience du devoir accompli, de l’humanité sous sa plus haute forme.

Soit que son mémoire reste aussi intouché et perpétuelle que ses accomplissements mémorables !

Que Dieu le repose en paix !

Aujourd’hui, une année depuis son passage dans l’éternité, les professionnels comptables d’ailleurs font l’hommage respectueux au mémoire de celui qui a été le Président du CECCAR, prof. univ. dr. Marin Toma.

http://marintoma.ceccaro.ro/)

 

CECCAR

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